
On ne peut reprocher aux parents et grands-parents de faire tout leur possible pour aider leurs enfants à financer leurs études supérieures. Or, certains parents changent de situation en cours d’études et n’arrivent plus à pourvoir aux frais universitaires. La conjoncture difficile que nous traversons est également une source de baisse des revenus des parents. Cette aide varie entre 300 à 400 € par mois en fonction de la situation de l’enfant s’il habite ou pas chez ses parents. Cela représente les 2/3 de leurs rentrées d’argent. Le système peut paraitre injuste dans la mesure où les études sont conditionnées par la capacité des parents à subvenir aux besoins de leurs enfant pendant les études supérieures.
Qu’en est-il de votre expérience personnelle ? Est-ce suffisant pour vos besoins ?