Selon des évaluations d’épidémiologistes, seule 3 % de la population française serait aujourd’hui immunisée. Un chiffre très insuffisant pour stopper définitivement la propagation du virus.
Se sentir reconnu à sa juste valeur a un impact considérable sur la motivation, l’engagement au travail… et le bonheur à le faire ! Comment bien utiliser un levier essentiel pour le confort moral de des troupes, et le nôtre ?
Sept salariés français sur dix
Une grande partie des salariés français estiment que leur travail n’est pas reconnu à sa juste valeur par leur employeur. Sept salariés français sur dix estiment ne pas être reconnus à leur juste valeur dans leur travail, selon une étude de 2018 d’Odoxa-Dentsu Aegis Network. Et le reproche s’adresse directement aux n+1 : selon une enquête de 2016 de l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact), 72% des salariés s’estiment reconnus par leurs collègues, 68% par leurs clients, 55% par leurs collègues d’autres services… mais seulement un sur deux par son supérieur ! En cause, une certaine déshumanisation du travail, liée aux technologies numériques.
L’hyperconnectivité
de l’humanité a accéléré l’ultramondialisation mercantile et le besoin d’acquérir
les richesses disponibles pour tous. Tout
doit fluctuer, bouger vite sans entraves et sans frontières.
Dans les entreprises, l’open-space symbolise ce refus de tout entrave qui devient un problème, une contrariété. Le tourisme global témoigne de cette envie de s’approprier le monde, de circuler, de vivre en toute liberté. Tout allait bien, la possibilité d’aller et venir, de penser et de faire nous donnaient un sentiment de confort, de sécurité et de liberté jusqu’à ce grain de sable, tellement petit qu’il en est invisible et pourtant si présent.
Bien sûr, la progression de la pandémie de coronavirus est préoccupante. Aujourd’hui plus de 200.000 personnes sont désormais infectées par le coronavirus Covid-19 et les différents pays touchés mettent en place des mesures de confinement de plus en plus restrictives. Il n’est pas toujours facile de garder le moral en évoquant cette pandémie. Bien sûr, la mise en place de mesures de confinement restrictives est pesante. Pour autant, il existe quelques raisons de conserver un minimum d’optimisme car il existe un certain nombre de nouvelles encourageantes. En voici dix (liste non exhaustive) qui peuvent permettre de garder le sourire derrière son masque. Nous constatons qu’après deux mois de confinement, le nombre des infections et des morts baisse en Chine continentale, et, jeudi 19 mars, il n’y a pas eu de cas recensé d’origine locale. (CHINE NOUVELLE/SIPA)